Roberto Scaletta
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Messages : 13
Localisation : Dans la forêt, à la chasse aux clébards
PAPIERS
Hiérarchie: Hunter
Grade: Exécuteur
Pouvoir & Arme
:
![Roberto Scaletta [ Huhu ~ ] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Roberto Scaletta [ Huhu ~ ] ![Roberto Scaletta [ Huhu ~ ] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mer 3 Aoû - 17:24 | |
| Carte d'Identité
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Nom : Scaletta
Prénom(s) : Roberto
Âge : 24 ans
Nationalité : Italienne
Clan : l'Ordre de la Rose Fanée/Exécuteur hunter
Sexualité : Hétérosexuel
Caractère : Arrogant - Égocentrique - Solitaire - Perfectionniste (En combat) – Froid - Sans pitié
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Roberto est un homme sombre. Pas uniquement par manie, mais aussi, au niveau vestimentaire. Sa tenue noire en cuir souple et ses épaulettes en argent lui donnent un aspect impérial, argumenté par ses deux yeux violets pâles, froids et sans sympathie aucune. Son beau visage, si élégant soit-il, est souvent hautain, froid et peut être impassible, suivant les situations. Un tatouage noir est gravé sur sa poitrine bien entretenue, qu'il cherche toujours à dissimuler, soit par son vêtement d'hunter, soit, quand il s'habille décontracté, c'est à dire quand il n'est pas en mission (ce qui arrive très rarement), par le biais d'un bandage blanc-cassé, de la même couleur que sa peau. Son pantalon de cuir, lui aussi, est suffisamment large pour garder la chaleur dans les pires hivers, et tout aussi résistant quant aux griffes des lycans qui pourrait lui érafler les jambes. Des New rock sont chaussées à ses pieds, encore en cuir sombre, très résistantes également, mais pas très esthétiques : abîmées, de nombreuses déchirures se laissent apercevoir parmi les chaines et les plis de la matière. Ses cheveux sont très long, d'une couleur d'encre, souvent attachés en queue de cheval, lui tombant bas dans son dos. Seules deux ou trois mèches encadraient ses yeux, rendant sa personne farouche, défiante tout ceux qui ose s'approcher de lui.
Tout petit déjà, Roberto avait une sorte d'extrême attirance inexplicable pour tout ce qui attrait aux légendes populaires ; les vampires, les lycans... Ce qui effrayait considérablement ses parents, parfaitement terre-à-terre de mentalité, avec leur réputation et leur business. Le jeune garçon savait... ou plutôt croyait en l'existence de ces choses démoniaques. Mais à qui pouvait-il en parler sans passer pour un fou à lier ? C'était donc seul, qu'il s'épanouissait dans un monde étrange et dangereux, à la fois hors de portée et tellement familier.
Il a toujours été habitué à la solitude, refusant volontairement la compagnie des êtres « normaux », comme il les appelaient, et se comportant de façon de plus en plus désagréable et froide avec les années. Un jour, lors de sa cinquième année d'existence, alors qu'il rentrait de son école, il décida de visiter une nouvelle bibliothèque, qui venait juste d'ouvrir ses portes, dans une église récemment retapée. A sa grande joie, un rayon entier se consacrait à la description des vampires et des lycans, grandes entités ennemies de toujours. Sauf que les livres en questions parlaient de guerres qui avaient eut lieu entre eux, de meurtres, de rituels, des histoires de lignage et de succession. Au début, impressionné par la violence des mots, des actes et des pensés, Roberto prit peur, et rejeta l'idée de poursuivre ses recherches...
Mais qui ne cède pas cette tentation dévorante qu'est la curiosité ? Peu après le commencement de ce break, il s'était sentit vide, étrangement emplit de néant. Comme si sa vie n'avait plus de raison d'être. Qu'allait-il advenir de lui, s'il ne continuait pas à vivre pour la seule chose qu'il aimait ? Véritable amateur de défis, il avait surmonté cette phase, alors qu'il était à deux doigts du suicide. Il se replongea donc, à l'âge de 6 ans, dans sa passion, et se découvrit adorateur des vampires. Il les admiraient pour leur finesse, leur séduction avant de tuer une proie, leur rang, et surtout, cette assurance qu'ils avaient. Pour lui, le vampire est bien plus honorable que le lycan. De temps en temps, il s'amusait à penser que, si ces créatures existaient vraiment, comme il l'avait toujours pensé, il chasserait les lycans : Il les trouvaient répugnants, de véritables sac-à-puces. Sans parler de cette disgrâce, qu'ils avaient, comparée aux vampires.
Un jour, alors qu'il entamait son septième hiver, il tomba sur un livre – apparemment - de magie noire, à la bibliothèque. Il le lut entièrement, et découvrit quelque chose d'intéressant : il était écrit qu'en échange de son âme, il obtiendrait un pouvoir lui permettant de tuer soit les vampires, soit les lycans. Mi-figue, mi-raisin, il se doutait cependant de la lucidité de ces mots, car pour cela, il fallait conclure un pacte avec le Diable en personne. Non. Cela n'était que boniment... Seulement des creepypasta, et rien d'autre... A moins que ?
Pendant des mois, le jeune garçon était en pleine hésitation. Tenté par ce pouvoir qui lui tendait les bras, le pouvoir d'annihiler les lycans, il avait envie d'en savoir plus. Mais... vivant dans ce monde réaliste, rationnel, géométrique, la question revenait sans cesse, et ce quelque soit la puissance de sa croyance : est-ce qu'ils existent ? Tout son être était pourtant rattaché à cette croyance. Cependant, même en refusant l'influence du monde, il était en plein doute. Il décida d'en juger par lui-même et de rencontrer un lycan. Et pour cela, rien de plus simple : il suffisait de se promener dans la forêt qui bordait Milan, non loin de la frontière française, dans une nuit de pleine lune, avec un peu de sang sur lui, et puis d'attendre. Il savait, ou plutôt, se doutait des dangers qu'il courait en faisant ça, mais au moins, s'il devait finir dévoré, autant mourir avec la joyeuse pensée qu'il avait raison depuis le début.
Il mit son plan à exécution au printemps, ses parents étaient de sortie, mais avaient laissé leur fils seul dans la maison, sans nourrice, ni quoi que ce soit. Mais ça, Roberto était habitué. Il sortit donc, sans même fermer la porte à clef, le cœur battant à tout rompre, monté sur sa bicyclette. Il roula pendant près d'une demie-heure, en savant, malgré la nuit tombée, où il allait précisément, connaissant la route par cœur. Arrivé à destination, il posa son vélo par terre, et sortit des petites billes d'argents, qu'il avait volé dans la réserve de son père (celui-ci était bijoutier). Il se mit bien en évidence à la lumière de la pleine lune, et entreprit de se couper pour étaler un peu de sang sur son poignet, afin d'attirer les lycans. Mais la vérité fut toute autre :
« Une ombre s'avançait dans la végétation. Une silhouette à l'allure indescriptible. Roberto en fut d'abord intrigué, mais plus les secondes passaient, et plus il sentait que quelque chose de terrifiant et de dangereux s'approchait. Une angoisse sans nom lui broya soudain l'estomac. Il aurait voulu fuir, et regretta amèrement d'avoir fait couler le sang sur son corps. Cette aisance... ces yeux brillants dans l'obscurité. Il aurait reconnu entre mille. Ce n'était pas un lycan qui venait à lui.
Mais un vampire.
Un vampire de taille adulte, d'après sa silhouette. Mais le petit garçon ne voyait pas son visage : il était capuchonné. Il eut soudain très froid, comme transit, ne pouvait plus rien faire à part respirer. Des dents étincelantes apparurent à la lumière lunaire. Roberto pensait que c'était la fin. Qu'il allait mourir. Mais, comme il l'avait prévu, il allait mourir en ayant découvert la vérité, et un sourire se dessina sur ses lèvres. Il ferma les yeux, et tendit son bras blessé au vampire qui s'était penché vers lui, ses yeux rouges-sang brillaient d'avidité. Immédiatement après, les crocs luisant s'étaient plantés dans son corps, et le jeune garçon ne put réprimer une plainte de douleur. Il se sentait de plus en plus faible : le sang se faisait aspirer de son corps à une vitesse incroyable, si bien qu'il sentait ses membres engourdis, et tomba sur les genoux, au sol.
« Ah... je vais mourir. » pensa-t-il.
Toute conscience l'abandonnait. Il était plus gelé que jamais. Son cerveau ne pouvait plus se concentrer sur quoi que ce soit. De sa main « valide », il laissa tomber les perles d'argents sur le sol, qui roulèrent dans l'herbe. Soudain, il sembla que les crocs se retirèrent de son bras ; ou alors, celui-ci était devenu insensible. Une légère chaleur pénétra dans son jeune corps, suffisante pour lui permettre d'ouvrir un peu les yeux, bien qu'il ne pouvait bouger.
« Où as-tu trouvé cela ? » Fit le vampire, en tenant au creux de sa main blanche l'argent.
Cette voix... douce, séductrice, mielleuse... exactement comme dans les livres. Roberto fut tellement honoré que le vampire s'adressait à lui, qu'il lui répondit du mieux que son état le lui permettait :
« La remise... de mon père... »
A présent, le vampire le regardait, et le garçon pouvait les voir : ses yeux, rouges comme le sang. Deux iris brulants qui le fixaient. Impressionné et épuisé, Roberto réussi quand même à rajouter ceci, conscient que cela était un propos important :
« Je voulais... tuer un lycan avec... Mais, à la place, on dirait bien que j'ai trouvé un vampire. »
Son interlocuteur sourit, faisant réapparaitre ses dents pointues, couvertes de sang :
« Toi ? Un gringalet, armé de billes en argent, tuer un lycan ? Il te faut bien plus que ça. »
Honteux, Roberto ne savait pas quoi dire. Il baissa les yeux, et regarda l'herbe. S'il n'avait pas été en manque de globules rouges, il aurait rougit.
« J'ai pensé... Que cela était suffisant. Les lycans n'aiment pas l'argent... balbutia-t-il.
- Pourquoi veux-tu chasser les lycans, petit ? » L'interrompit le vampire.
Alors ça... C'était une bonne question : car mise à part le fait qu'il préférait les vampires aux lycans, il n'y avait pas d'autre raison. Mais c'était tellement stupide... et naïf de dire de telles choses. Le problème, s'était que s'il ne disait rien, il passerait pour un faible devant le vampire, après ce que celui-ci lui avait infligé :
« Je ne les aime pas, c'est tout. » répondit-il avec sincérité, mais toujours honteux.
L'adulte eut un rire sacaristique, attendit un peu, puis, fixa le garçon dans les yeux :
« Merci pour ton sang. Je t'en ai pris une grande partie, mais il t'en reste suffisamment pour te permettre de rentrer chez toi. J'aimerais bien te dire adieu, mais je ne pense pas que ceci seront nos dernières paroles. Au revoir. »
Sur ce, il se releva avec une vitesse incroyable, puis disparut dans la forêt, plongeant celle-ci dans le calme dans lequel elle était vingt minutes avant. Roberto était en état de choc. Il lui était impossible de réfléchir, et pourtant, une seule pensée l'obsédait. Il attendit, là, fixant un point au sol que seul lui pouvait voir, ses yeux d'améthystes plongés dans le vague. »
Comme convenu, le jeune garçon était rentré chez lui... mais avait trouvé sa maison sans dessus dessous. Étonné, il oublia un instant sa mésaventure, et inspecta les lieux : tous les meubles avaient été endommagés, les fenêtres brisées, les tableaux arrachés... Qui avait bien pu faire ça ?
Son regard se tourna vers la pendule : 22h26. Ses parents rentraient bientôt. Ah, qu'allait-il faire ? Même s'il ne parlait pas à ses parents, il ne pouvait pas se résoudre à faire comme si de rien n'était. Il ne pouvait pas non plus tout ranger... il y avait tant de dégâts que c'était impossible. Soudain, une pensée l'accapara. Il fonça vers sa chambre, haletant. Sa crainte était fondée : ses livres n'avaient pas été épargnés. Il regarda, impassible malgré lui, les membres tremblant de fureur, le carnage. Tous avaient été déchirés, et les pages avaient été arrachées. Tous... sauf un. Le livre de la magie noire.
Et maintenant ? Roberto avait prit le livre, et l'avait serré contre lui. Il ne pouvait pas rester ici ; si ses parents voyaient cela... Il ne donnerait pas cher de sa peau. Mais comparé à sa correction, la morsure du vampire lui semblait être un châtiment sans égal : les traces de crocs étaient bien distinctes et lui faisait encore très mal. Mais, au moins, maintenant, sa décision était prise : Comme les vampires existaient, les lycans aussi, et en plus, son agresseur l'avait confirmé. Il allait donc, conclure ce fameux pacte avec le Diable.
Il prit la fuite, en emportant des provisions, des vêtements, et son livre. Le voyage en vélo fut comme celui à son retour de la forêt : très compliqué. Roberto chancelait souvent, suite à sa carence en globule rouge. Il était aussi, mort de fatigue. Il cillait le moins souvent que possible pour ne pas s'endormir : il devait s'éloigner de Milan, avant de penser à autre chose. Car ses parents risqueraient (ou pas) de dépêcher un avis de recherche, et il ne voulait s'assurer que, pour rien au monde qu'on le retrouve.
Le pacte fut conclu. Voir le Diable... quelle expérience sans pareil. Du Feu, des démons, des volcan, de la lave... L'image exacte de l'Enfer s'était dressée devant lui, quand il avait entamé la procédure. Il échangea volontiers son âme, et, par la suite, un tatouage s'était gravé sur sa poitrine. Un tatouage noir, formant un sigle étrange, qui, d'après les indications du Diable, grandissait à chaque fois qu'il utilisait son pouvoir. Son pouvoir ? Un katana d'une longueur incroyable, dont la lame noire scintillait dès qu'il invoquait le mal qui l'habitait. Il décida, par mesure de précaution, qu'il s'en servirait que lorsqu'il serait confronté au véritable danger... Car, le Diable avait dit, que lorsque le tatouage couvrirait tout le bras, le pacte serrait rompu. Heureux, qu'il était, à présent, de cette nouvelle vie qui s'offrait à lui. De plus, il avait passé la frontière française, rendant toute recherche italienne hors d'atteinte (si recherche il y avait eut).
Il découvrit, lorsqu'il tua son premier lycan (une jeune fille un peu plus âgée que lui, dans les Alpes), qu'il avait un véritable don pour le combat. Il tuait avec aisance, gouverné par sa haine envers ses ennemis, et par l'image entêtante du vampire qu'il avait rencontré dans la forêt, quelques années plus tôt. Car Roberto avait eut ses dix ans, maintenant. Voler, tuer et fuir était devenu sa façon et son choix de vivre. Ayant commis des abominations en France, il décida de se réfugier en Allemagne, où il rencontra plusieurs lycans. Il était devenu accroc au combat, enchainant les ruses et les tueries, les victoires et les cicatrices. Son tatouage grandissait, certes, mais avec modération, et Roberto en était ravi.
Ce n'est que quand il avait dix sept ans, qu'il fit la connaissance d'une certaine organisation, en Norvège, appelée « L'Ordre de la Rose Fanée ». Il les avaient découvert, ou plutôt, il s'était fait découvrir par eux, alors qu'il trainait, couvert de sang, un cadavre de lycan, son épée posée sur ses épaules. Les hommes de l'organisation lui parlèrent, et, voyant ses prouesses d'avoir chassé un lycan Alpha à son âge, il lui demandèrent s'il voulait les rejoindre. Mais étant habitué à bosser seul, le jeune homme déclina leur offre... Puis, finalement, accepta : en Norvège, il serait intouchable par les autorités des différents pays qui le recherchait, et encore plus s'il était accompagné par d'autres hunter ; il découvrit, que, comme lui, des humains chassaient les lycans... et les vampires. Roberto ne s'entendait pas bien avec tout le monde : il n'en faisait qu'à sa tête, et comme bon lui semblait. Surtout quand c'était Emily, la chef des Exorcistes, responsables de chasser des vampires, qui lui donnait des ordres. Pour qui elle se prenait, elle ? Roberto n'obéissait qu'à lui.
Mephista, ainsi s'appelle son katana, offert par le Diable lui-même, pour que Roberto tue les lycans. Cette arme est unique, et sa lame est noire, forgée d'une pierre inconnue, étincelante et lumineuse lorsqu'un ennemi approche. Elle est reliée à Roberto, n'obéit qu'à lui, et semble avoir été créée pour détruire les lycans. Lorsqu'elle affronte des vampires, ou des humains, sont pouvoir est bien moins grand, mais n'en reste pas moins un danger potentiel à prendre en compte.
Contrairement à toutes les armes d'Hunter, Mephista n'est pas composée d'argent. Seulement de ses propres pouvoirs. Cependant, même Roberto ne connait pas l'étendue maximale de la puissance de cette arme, et découvre en temps voulu ses caractéristiques. Le jeune homme à découvert récemment, qu'il est possible de projeter la lumière qu'elle dégage, son pouvoir animé, et de se servir de cette lumière comme projectile. Mephista ne peut pas blesser son maitre.
The One that you are
| | | Pseudo : Tsuki
Âge : 18 ans
Sexe: féminin
Avatar : Yuu Kanda, de D Gray Man
Comment avez-vous connu le forum ? Hm... demandez donc à Djendäl !
Présence sur une échelle de 10 : La même chose, je dirais entre 5 et 10.
Code : Huhu ♪
Autre chose à rajouter ? Heu...?
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